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Une initiative, pleine d’incertitudes 

Coûts par millions, faisabilité douteuse, solidarité intercommunale brisée, légalité incertaine, parcelle privée.

Si vous n'accepteriez pas ces risques pour vous-même, ne les imposez pas à la commune !

Remettre l'humain à sa place 

Le projet de Valleyre est un projet modèle parce qu’il inverse les priorités. D’habitude, on privilégie le bâti et on y ajoute un peu de nature.

 

Pour Valleyre, on a fait l’inverse. D’abord, un écologue a déterminé quels éléments environnementaux devaient primer sur toute autre considération architecturale. Ensuite, mais ensuite seulement, les architectes ont créé le projet sur la base des contraintes fixées par l’écologue.

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En clair, sachant que Valleyre était un terrain prévu à la construction, tout le travail a été mené pour privilégier le naturel sur le bâti. Pour réunir surtout, réconcilier presque, la vie conjointe des futurs habitants et celle prioritaire de la nature.

 

Concrètement, les architectes ont dû prévoir leur projet avec une trentaine de contraintes faunistiques, floristiques, environnementales et écologiques impératives.

Afin de construire de manière responsable, plusieurs facteurs sont pris en compte. Une construction en bois-béton est privilégiée. L’impact visuel des places de parking à également été réduit considérablement par la modification du projet de construction.

 

La pose de panneaux photovoltaïques permettra de favoriser l’indépendance énergétique. Les immeubles pourront s’autogérer grâce à une énergie 100% renouvelable et une autoconsommation électrique.

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